Recherche wikipedia : "Les vacances (au pluriel, du latin vacare, « être sans ») sont une période de temps (de quelques jours, semaines, voire mois) pendant laquelle une personne cesse son activité habituelle (professionnelle, scolaire…) pour se reposer et parfois partir en voyage d'agrément."
Alors, perso, mon voyage d'agrément va se dérouler entre hier et dimanche prochain et je pense naviguer entre le salon et la chambre, en passant par la salle de bain, occasionnellement les chiottes et de manière très épisodique la cuisine. A pied ; c'est plus économique.
Parce que oui, parlons-en, de l'économie, quand on fait un stage dans un lieu situé à 1 heure de route et que, comme on sentait qu'on frisait la dépression aigüe dans le donjon sinistre, on a préféré faire le trajet all the days et par conséquent se taper 2 heures de route quotidiennes. Question économie, on a vu mieux.
Pôle Emploi me donne des sous (enfin, quand bon lui semble hein, faudrait pas voir à ce qu'il y ait une régularité non plus, c'est trop demandé) pour que je paie mon loyer et mon essence. Et.... et non, c'est tout en fait. Un quignon de pain, à la rigueur.
Pour en revenir aux vacances, objet de mes convoitises les plus folles depuis septembre dernier, je m'étais fait un programme. Mais forcément, quand on a 6 mois de programmation derrière soi, on a eu le temps de s'élaborer un emploi du temps d'environ 786 heures par semaine. Si je suis cet emploi du temps, j'oublie de dormir, manger, pisser, me laver et je suis dans l'action H24.
Il me faut donc prioriser. Un truc que je sais pas faire, mais alors pas du tout. Genre entre jouer à mon nouveau jeu Wii et écrire une lettre à ma mutuelle qui me pompe 40 euros tous les mois pour rien, puisque j'en ai une autre, en fait, de mutuelle.... Quelle solution je prends ? Le jeu Wii, forcément, parce qu'à la vitesse où vont les choses, ce jeu, dans 6 jours, il est complètement out et je le revendrai que dalle.
Priorisation 2.0.
Autre exemple, plus concret encore : j'ai le cul calé au fond de mon canapé, à écrire un article d'un inintérêt incontestable, alors que j'avais commencé à ranger mon appart. Face à la catastrophe ménagère qui s'est accumulée ces derniers mois, je ne peux que pleurer en maudissant mon incapacité à prioriser, une fois de plus. Le serpent se mord la queue.
Et le pire de tout, mais alors, limite mon découvert bancaire passe après, ce sont tous ces connards qui partent au ski et qui trouvent incontournable de le marquer sur facebook. C'est simple, en février, tu ouvres ta page facebook, tu as au bas mot 15 statuts qui te sautent à la gueule et qui parlent de ski, de luge, de raclette, de tartiflette, de chalet etc etc.
J'ai horreur du ski. Vraiment. J'ai l'impression d'être dans un cauchemar quand je veux soulever mes pieds mais que ces abrutis soulèvent en même temps une grande barre qui glisse. Impossible de marcher, mon corps s'est déformé, sayè. Ca me renvoie à mon autre cauchemar de quand j'ai une autre rangée de dents qui poussent en haut et je ne peux plus fermer la bouche. Cauchemars de déformation physique.
Je déteste le ski. Au bout de 5 pistes, je suis crevée, j'arrête pas de tomber et je finis TOUJOURS le cul dans la neige, les skis plantés tout droit devant moi, à pleurer en hurlant que quelqu'un vienne me chercher et que je veux mourir.
Je déteste le ski. Quand on rentre au chalet et que tout le monde retire ses moonboots.... Tu as beau avoir choisi la plus belle combinaison, les plus classes lunettes de soleil, les skis ou le snow le plus hype, quand tu retires tes putains de moonboots, tu schlingues le vieux fromage comme celui qu'on te servira le soir dans ta fondue dégueu qui me donne envie de gerber. Lien de cause à effet ?
Je déteste le ski. Alors allez vous péter une jambe au ski, vous ferez moins les malins quand vous reviendrez, que mon appart étincellera, que j'aurai fait tous mes putains de papiers et que j'écrirai sur votre plâtre, les yeux cernés : "Dans ton cul."
SE REPOSER - PARTIR EN VOYAGE D'AGREMENT
Parce que oui, parlons-en, de l'économie, quand on fait un stage dans un lieu situé à 1 heure de route et que, comme on sentait qu'on frisait la dépression aigüe dans le donjon sinistre, on a préféré faire le trajet all the days et par conséquent se taper 2 heures de route quotidiennes. Question économie, on a vu mieux.
Pôle Emploi me donne des sous (enfin, quand bon lui semble hein, faudrait pas voir à ce qu'il y ait une régularité non plus, c'est trop demandé) pour que je paie mon loyer et mon essence. Et.... et non, c'est tout en fait. Un quignon de pain, à la rigueur.
Pour en revenir aux vacances, objet de mes convoitises les plus folles depuis septembre dernier, je m'étais fait un programme. Mais forcément, quand on a 6 mois de programmation derrière soi, on a eu le temps de s'élaborer un emploi du temps d'environ 786 heures par semaine. Si je suis cet emploi du temps, j'oublie de dormir, manger, pisser, me laver et je suis dans l'action H24.
Il me faut donc prioriser. Un truc que je sais pas faire, mais alors pas du tout. Genre entre jouer à mon nouveau jeu Wii et écrire une lettre à ma mutuelle qui me pompe 40 euros tous les mois pour rien, puisque j'en ai une autre, en fait, de mutuelle.... Quelle solution je prends ? Le jeu Wii, forcément, parce qu'à la vitesse où vont les choses, ce jeu, dans 6 jours, il est complètement out et je le revendrai que dalle.
Priorisation 2.0.
Autre exemple, plus concret encore : j'ai le cul calé au fond de mon canapé, à écrire un article d'un inintérêt incontestable, alors que j'avais commencé à ranger mon appart. Face à la catastrophe ménagère qui s'est accumulée ces derniers mois, je ne peux que pleurer en maudissant mon incapacité à prioriser, une fois de plus. Le serpent se mord la queue.
Et le pire de tout, mais alors, limite mon découvert bancaire passe après, ce sont tous ces connards qui partent au ski et qui trouvent incontournable de le marquer sur facebook. C'est simple, en février, tu ouvres ta page facebook, tu as au bas mot 15 statuts qui te sautent à la gueule et qui parlent de ski, de luge, de raclette, de tartiflette, de chalet etc etc.
J'ai horreur du ski. Vraiment. J'ai l'impression d'être dans un cauchemar quand je veux soulever mes pieds mais que ces abrutis soulèvent en même temps une grande barre qui glisse. Impossible de marcher, mon corps s'est déformé, sayè. Ca me renvoie à mon autre cauchemar de quand j'ai une autre rangée de dents qui poussent en haut et je ne peux plus fermer la bouche. Cauchemars de déformation physique.
Je déteste le ski. Au bout de 5 pistes, je suis crevée, j'arrête pas de tomber et je finis TOUJOURS le cul dans la neige, les skis plantés tout droit devant moi, à pleurer en hurlant que quelqu'un vienne me chercher et que je veux mourir.
Je déteste le ski. Quand on rentre au chalet et que tout le monde retire ses moonboots.... Tu as beau avoir choisi la plus belle combinaison, les plus classes lunettes de soleil, les skis ou le snow le plus hype, quand tu retires tes putains de moonboots, tu schlingues le vieux fromage comme celui qu'on te servira le soir dans ta fondue dégueu qui me donne envie de gerber. Lien de cause à effet ?
Je déteste le ski. Alors allez vous péter une jambe au ski, vous ferez moins les malins quand vous reviendrez, que mon appart étincellera, que j'aurai fait tous mes putains de papiers et que j'écrirai sur votre plâtre, les yeux cernés : "Dans ton cul."
1 commentaire:
Et ben moi j'aime le ski ! Mais je déteste aussi ceux qui y vont vu que je ne peux y aller -__-
Pas mal le " dans ton cul " ;)
Enregistrer un commentaire